Investir dans le vin : Pourquoi et comment se lancer

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L’investissement dans le vin séduit de plus en plus d’amateurs et d’investisseurs en quête de diversification. Que ce soit pour le plaisir de posséder des bouteilles rares ou pour profiter d’une rentabilité souvent impressionnante, l’investissement dans les vins constitue un placement alternatif intéressant. Découvrez pourquoi et comment vous pouvez commencer à investir dans les vins, tout en maximisant vos chances de succès.

Qu’est-ce que l’investissement dans le vin ?

L’investissement dans le vin consiste à acheter des bouteilles ou des caisses de vins, principalement des grands crus, dans l’espoir que leur valeur augmentera avec le temps. Les vins prestigieux, produits en quantités limitées et qui vieillissent bien, gagnent en rareté et en valeur à mesure que les années passent. Ce type d’investissement est particulièrement attractif car il allie plaisir et potentiel de plus-value financière.

Pourquoi investir dans le vin ?

Le marché de l’investissement dans les vins présente plusieurs avantages :

  1. Un marché en pleine expansion : Les vins, notamment ceux issus des régions de Bordeaux, Bourgogne, ou Champagne, sont très demandés, surtout en Asie et aux États-Unis. Cette demande croissante, face à une offre limitée, pousse les prix à la hausse, offrant des opportunités intéressantes pour les investisseurs.
  2. Un actif tangible et de passion : Contrairement aux actions ou aux obligations, le vin est un bien tangible que vous pouvez apprécier. De plus, même si la valeur ne progresse pas comme prévu, vous pouvez toujours profiter du plaisir de le déguster.
  3. Une bonne diversification : Investir dans les vins permet de diversifier un portefeuille. Ce type d’investissement a une faible corrélation avec les marchés financiers traditionnels, ce qui en fait un excellent moyen de réduire les risques globaux.

Comment fonctionne l’investissement dans les vins ?

Avant de vous lancer dans l’investissement dans les vins, il est important de comprendre certains mécanismes essentiels :

  1. Le choix des vins

Tous les vins ne sont pas de bons investissements. Les meilleurs candidats sont souvent les grands crus ou les vins issus de millésimes exceptionnels, produits en quantités limitées. Les vins de Bordeaux, les Bourgognes, et certains vins de la Vallée du Rhône, comme les Châteauneuf-du-Pape, sont généralement considérés comme des valeurs sûres. 1jour1vin vous présente une large sélection de bouteilles idéales à l’investissement.

  1. La revente des vins

Une fois vos vins arrivés à maturité, vous pouvez envisager de les revendre à profit. Plusieurs plateformes d’échange et d’enchères permettent de vendre facilement vos bouteilles aux enchères ou à des collectionneurs privés. Pour maximiser vos chances de succès, il est conseillé de suivre régulièrement les tendances du marché et de savoir quand vendre vos vins pour maximiser vos gains.

  1. Les vins en primeurs, une autre façon d’investir

L’investissement dans les vins primeurs consiste à acheter des vins avant leur mise en bouteille, souvent à un prix réduit, en misant sur leur appréciation future. Très prisé pour les grands crus de Bordeaux, ce type d’investissement permet d’acquérir des millésimes rares dès leur production. En revanche, il nécessite patience et expertise, car les vins doivent vieillir plusieurs années avant d’être consommés ou revendus avec potentiellement de belles plus-values.

Comment se lancer dans l’investissement dans les vins ?

Si vous souhaitez commencer à investir dans les vins, voici quelques étapes à suivre :

  1. Faire ses recherches : Renseignez-vous sur les régions viticoles, les millésimes, et les producteurs réputés pour leurs vins d’exception. Des plateformes proposent des informations détaillées sur les vins et vous permettent de faire des achats en toute confiance.
  2. Commencer petit : Il est recommandé de commencer avec un budget raisonnable. Vous n’avez pas besoin d’investir des sommes colossales pour commencer. Des caisses de vins de qualité, comme des vins de Bordeaux ou des vins de Bourgogne, peuvent constituer de bons points de départ.
  3. Utiliser des sites de ventes privées : Des sites permettent de sélectionner des bouteilles prêtes à être consommées ou revendues dans les années à venir au meilleur prix.
  4. Penser long terme : Le vin est un investissement à long terme. Il est essentiel d’avoir de la patience et de conserver vos vins pendant plusieurs années, voire décennies, avant de les revendre.

Réussir son investissent vin – Conclusion

L’investissement dans les vins est à la fois passionnant et potentiellement lucratif. Que vous soyez un amateur de vin ou un investisseur à la recherche de nouvelles opportunités, ce marché en pleine expansion offre de belles perspectives. Cependant, pour réussir, il est essentiel de bien se renseigner, de choisir des vins de qualité et de s’assurer qu’ils sont stockés dans des conditions optimales. En suivant ces conseils, vous pouvez espérer non seulement réaliser de bons rendements, mais aussi profiter de l’expérience unique que procure la possession de grands crus.

 

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Exonération de plus-value immobilière en cas de prix de cession inférieur à 15 000 euros

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Exonération de plus-value immobilière en cas de prix de cession inférieur à 15 000 euros

Les cessions d’immeubles dont la valeur est inférieure ou égale à 15 000 € sont exonérées d’impôt de plus-values.

Cette limite s’apprécie bien par bien et non annuellement.

Le Conseil d’Etat (CE 15 nov. 2019, n°421337) a précisé que pour l’appréciation du seuil de 15 000 € il y a lieu de prendre en compte le prix de chaque opération de cession, c’est-à-dire chaque transaction réalisée, indépendamment du nombre de biens ou de lots vendus à l’occasion de cette transaction.

Les cessions de titres de sociétés ne bénéficient pas de cette exonération. Cela concerne par exemple les parts de SCPI.

 

De la part de www.joptimiz.com, assistance fiscale en ligne

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La détention d’actifs immobiliers par les entreprises

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La détention d’actifs immobiliers par les entreprises est une pratique courante qui peut servir de levier financier, de siège social ou de source de revenus. Cependant, cette détention est soumise à diverses réglementations fiscales et obligations comptables qui doivent être prises en compte pour une gestion efficace des biens immobiliers.

Tout d’abord, lorsqu’une entreprise acquiert un bien immobilier, elle est soumise à des impôts et des frais associés à la transaction. Cela peut inclure les droits de mutation (ou frais de notaire), ainsi que la taxe foncière annuelle. Ces coûts varient en fonction de la localisation du bien et de sa valeur, et doivent être budgétisés lors de l’acquisition.

Une fois que l’entreprise détient le bien immobilier, elle doit également prendre en compte les implications fiscales liées à la propriété. La valeur de l’immobilier est souvent comptabilisée dans les états financiers de l’entreprise, et des ajustements périodiques peuvent être nécessaires pour refléter les fluctuations de valeur du marché. De plus, l’entreprise doit payer la taxe foncière annuelle, qui est calculée en fonction de la valeur locative cadastrale du bien.

 

 

Si l’entreprise loue le bien immobilier à des tiers, elle perçoit des revenus locatifs qui sont imposables. Ces revenus doivent être déclarés dans les déclarations de revenus de l’entreprise, et ils peuvent être soumis à l’impôt sur les sociétés. Cependant, des déductions fiscales sont généralement disponibles pour les dépenses liées à la gestion et à l’entretien du bien, telles que les frais de gestion, les travaux de réparation et les intérêts d’emprunt.

En cas de vente du bien immobilier, l’entreprise est également soumise à l’impôt sur les plus-values immobilières. La fiscalité va dépendre de taxation de la société : société à l’IR ou à l’IS. La plus-value réalisée lors de la vente est calculée comme la différence entre le prix de vente et la valeur comptable du bien, ajustée pour tenir compte des frais de cession et des améliorations apportées au bien.

En matière d’IFI, les biens immobiliers professionnels sont exonérés de l’IFI.

En résumé, la détention d’actifs immobiliers par une entreprise comporte des implications fiscales importantes qui doivent être prises en compte dans la gestion et la planification financière de l’entreprise. Comprendre les obligations fiscales associées à la détention, à la location et à la vente de biens immobiliers est essentiel pour maximiser la rentabilité et minimiser les risques pour l’entreprise.

De la part de www.myimmobilier.com, assistance fiscale en ligne

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Acquérir un bien immobilier à Dubaï ?

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Acquérir un bien immobilier à Dubaï ?

La détention d’un bien immobilier en France par un non résident fiscal français est soumise à certaines règles et obligations fiscales spécifiques. Que ce soit pour l’achat d’une résidence secondaire, d’un bien locatif ou à des fins d’investissement, les non-résidents doivent se conformer aux lois fiscales françaises applicables.

 

Et avec les Emirats Arabes Unis ?

Si un résident fiscal aux Emirats Arabes Unis possède un bien immobilier en France et le loue, il est soumis à l’impôt sur le revenu en France sur les revenus locatifs générés.

C’est donc le cas pour l’Immobilier Dubaï.

Les revenus locatifs peuvent être imposés en France selon deux régimes :

Régime micro-foncier : Si les revenus bruts annuels n’excèdent pas 15 000 €, le propriétaire peut bénéficier d’un abattement forfaitaire de 30 % sur les revenus locatifs. L’impôt est ensuite calculé sur le montant restant.

Régime réel : Si les revenus bruts dépassent 15 000 €, ou si le propriétaire opte pour ce régime, il peut déduire les charges réelles (intérêts d’emprunt, travaux, frais de gestion, etc.) de ses revenus locatifs avant imposition.

En outre, les non-résidents fiscaux, sont également soumis aux prélèvements sociaux sur leurs revenus immobiliers au taux de 17,2 %.

Nous recommandons de vous rapprocher d’une agence locale comme par exemple l’agence GID Real Estates.

Bonne journée

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Qui peut rentrer dans la SARL de famille ?

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Qui peut rentrer dans la SARL de famille ?

Une des stratégies pour transmettre des biens en location meublée est la constitution d’une SARL de famille.

Mais qui peut rentrer dans la SARL de famille ?

La SARL peut opter pour le régime de la SARL de famille si cumulativement :

  • la SARL est formée entre parents en ligne directe ;
  • et la SARL exerce de manière exclusive une activité commerciale, industrielle, artisanale ou agricole.

Ces conditions doivent être remplies non seulement au moment de la notification de l’option mais aussi pendant toutes les années au titre desquelles la société prétend appliquer le régime de la SARL de famille.

La SARL doit être formée uniquement entre parents en ligne directe (grands-parents, enfants, petits-enfants, etc.) ou entre frères et sœurs, ainsi que les conjoints et les partenaires liés par un PACS.

Une SARL de famille peut être constituée entre :

  • deux époux avec leurs enfants communs ;
  • un père, ses enfants et leurs conjoints ;
  • deux frères et leurs conjoints ;
  • un grand-père et ses petits-enfants à condition que ceux-ci soient des frères et sœurs ;
  • deux époux et l’enfant du premier lit de l’un des époux

En revanche, ne peuvent pas relever pas du régime des SARL de famille les sociétés constituées entre :

  • deux frères et le fils de l’un d’eux (sauf lorsque cette situation résulte du décès de l’un des frères) ;
  • une épouse, ses enfants et les enfants d’un premier lit de son conjoint
  • deux beaux-frères sauf lorsque cette situation résulte du décès de la sœur ;
  • deux concubins et leurs enfants communs ;
  • un grand-père et ses petits-enfants qui sont seulement cousins entre eux.

De la part de www.myimmobilier.com, plateforme d’assistance juridique et fiscale immobilière

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Promulgation de la « loi Airbnb »

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Nous l’annoncions dans notre dernier article (voir article précédent) : la loi « Le Meur », visant à renforcer les outils de régulation des meublés de tourisme, dite également « loi Airbnb », a été adoptée !

C’est désormais officiel ! Cette loi a été promulguée le 19 novembre 2024 et publiée au Journal officiel ce jour, le 20 novembre 2024.  

Bonne journée

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Fin des dispositifs Pinel et Loc’avantages

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Les dispositifs de défiscalisation immobilière Pinel et Loc’avantages prennent fin au 31 décembre 2024.

Le projet de loi de finances pour 2025 ne prévoit pas de prolonger ces dispositifs. À noter, le dispositif Denormandie sera quant à lui toujours disponible en 2025.

Pour bénéficier de l’avantage fiscal Pinel, l’investissement devra être réalisé au plus tard le 31 décembre 2024 :

  • logement neuf : la date d’acquisition s’entend de la signature de l’acte authentique d’achat ;
  • logement en l’état futur d’achèvement (VEFA) : la date d’acquisition s’entend de la signature de l’acte authentique d’achat ;
  • logement que le contribuable fait construire : la date d’acquisition s’entend du dépôt de demande de permis de construire.

Pour bénéficier de l’avantage fiscal Loc’avantages, la convention avec l’ANAH (agence nationale de l’habitat) doit être signée au plus tard le 31 décembre 2024.

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Adoption de la loi « Le Meur »

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La proposition de loi visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif, dite loi Le Meur a finalement été adoptée par l’Assemblée nationale le 7 novembre 2024. La prochaine étape est la promulgation de la loi au Journal Officiel.

Pour les propriétaires de logements locatifs meublés touristiques, les règles du régime micro-BIC, pour les loyers encaissés à partir du 1er janvier 2025 seraient de 30% avec un seuil de CA de 15.000 € (Meublé de tourisme non classé), seuil qui passe à 77.700 € pour les classés avec un abattement forfaitaire de 50%.

Il y a également de nouvelles obligations et démarches administratives de la location saisonnière.

Par exemple, la mise en location touristique de la résidence principale située dans une commune ayant mis en œuvre une autorisation préalable de changement d’usage et une procédure d’enregistrement préalable ne pourra excéder 120 jours par an. Par ailleurs, à compter du 1ᵉʳ janvier 2025, la commune pourrait, sur délibération motivée, abaisser le nombre maximal de jours de location dans la limite de 90 jours.

Concernant les autres cas, les communes de plus de 200 000 habitants ainsi que celles des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne doivent mettre en œuvre une autorisation préalable de changement d’usage.

À compter d’une date ultérieurement fixée par décret (et au plus tard le 20 mai 2026), une déclaration préalable d’enregistrement auprès d’un téléservice national incomberait à tous les bailleurs de meublés de tourisme. À la réception des éléments télédéclarés, le service en ligne devrait fournir aux déclarants un numéro de déclaration.

Enfin, à compter du 1ᵉʳ janvier 2034, les locaux loués en meublés de tourisme ne constituant pas la résidence principale du bailleur devraient présenter une consommation d’énergie finale inférieure à 450kWh / m² / an. Le non-respect de cette nouvelle obligation serait puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 5 000 €.

Enfin, l’obtention de l’autorisation préalable de changement d’usage serait conditionnée à la présentation d’un DPE dont le niveau est compris :

  • entre A et E dès le lendemain de la publication de la loi,
  • et entre A et D à compter du 1ᵉʳ janvier 2034.

 

De la part de www.myimmobilier.com, assistance fiscale en ligne concernant l’immobilier

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Loi de finances 2025 … retour à la case départ !

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La séance parlementaire du vote solennel sur la 1ère partie du projet de loi de finances pour 2025 au cours duquel les députés ont rejeté le texte discuté depuis plusieurs semaines montre les grosses divisions politiques à l’Assemblée nationale.

Ce rejet de la première partie du projet de loi de finances pour 2025, a entrainé mécaniquement celui de l’ensemble du projet de loi de finances pour 2025.

Le texte va désormais poursuivre son parcours au Sénat et avec la perspective d’une commission mixte paritaire qui tentera de dégager un compromis !

Bonne journée

www.myimmobilier.com, assistance fiscale en ligne

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Adoption de la nouvelle loi concernant les locations saisonnières

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La nouvelle loi concernant les locations saisonnières dont Airbnb … est désormais adoptée par les parlementaires.

Les principaux changements :

Pour les meublés de tourisme non classés, l’abattement passe de 50 % à 30 % avec un plafond de 15 000 € de loyers.

Pour les meublés classés, l’abattement passe de 71 % à 50 % avec un plafond de 77 700 € de loyers.

Les maires pourront désormais plafonner la location de la résidence principale à 90 jours au lieu de 120 jours.

Toutes les communes auront la possibilité de mettre en place des quotas de meublés de tourisme.

La création de nouveaux logements en location meublée touristique sera soumise, dans toutes les communes, à une autorisation de changement d’usage.

Les meublés de tourisme devront désormais être soumis au DPE, comme les locations classiques.

Pour le régime réel et le système des amortissements, le PLF 2025 est encore en cours d’examen au Parlement…

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